Rencontre avec Alice Quinn

Dimanche, il s’est passé un truc.

Bon, ok, le titre vous a tout dévoilé.

Pour l’effet de surprise, je repasserai !

Tant pis.

 

Bon, je disais que dimanche, il s’est passé un truc.

J’ai eu droit à ma rencontre avec Alice Quinn en chair et en os ! (Je préfère préciser, des fois qu’on se croirait à Zombieland)

On se connaissait depuis 2 ans, à papoter sur Skype de temps à autre, à échanger des mails. Bon, internet, Skype tout ça, c’est génial pour pouvoir communiquer avec l’autre bout de la planète, et même connaître des gens qu’on n’aurait jamais connus à l’ère du non internet (c’est pas si vieux que ça mes chéris).

Mais ça ne permet pas de prendre une bonne tasse de thé ensemble. Ou un bon whisky pour les gros durs. Le vrai contact, chaleureux, humain, tactile avec smack-smack (ou smack-smack-smack selon où vous habitez), ça n’a pas de prix.

Rencontre avec Alice Quinn
Alice Quinn et Marjo sous l’œil de Voltaire

 

La farandole impossible

Bon, c’est vrai, quand on se connaît virtuellement, on aimerait bien se rencontrer « en vrai » au bout d’un moment, quand il y a affinités. Mais il est impossible de tous se rassembler régulièrement. On est éparpillés aux 4 coins de l’Univers du pays, on est tous super méga occupés et puis ça a un coût, de voyager et dormir loin de chez soi.

Alors que faire quand on ne vit pas très proches les uns des autres ?

Ben comme j’ai fait pour ma rencontre avec Alice Quinn : à la faveur d’une occasion. Et comme Alice, qui vit dans le Sud, devait venir à Ferney-Voltaire (dans l’Ain mais collé à Genève), à 1 h en voiture de chez moi (je vis en Haute-Savoie, en plein champ au milieu des vaches), ni une ni deux, on a décidé de se rencontrer.

J’étais tout excitée ! Et c’était génial ! En plus, on a même jeté un œil très curieux au château de Voltaire (d’où le nom de la ville, vous suivez ?) avec son joli parc.

 

Sérieux, vous ne connaissez pas encore Alice Quinn ?

Alice Quinn est la première auteure à s’être auto-éditée (sur Amazon notamment) qui a connu le succès avec sa comédie policière « Palace en Enfer« .

Et moi qui l’ai lue (ainsi que le 2e qui vient de paraître, encore plus drôle !), c’est vraiment le genre d’histoire qu’on se retrouve à lire en riant tout seul comme un dingue, et tant pis pour les voisins !

Son héroïne, Rosie Maldonne, est aussi drôle qu’attachante avec ses bourdes, son franc-parler et son grand cœur (d’artichaut).

Voici le début de la description qui en est faite sur Amazon :

Sexy et grande gueule, Rosie Maldonne est une jeune mère de trois enfants qui a pour seules ressources les versements du RSA.
À quelques encablures de Cannes, elle vit dans une vieille caravane posée sur un terrain vague, à la lisière d’une petite ville.
Ce matin-là, la voilà partie à la recherche de quelques sous en mettant en pratique son système D habituel, quand le destin va frapper à sa porteun gros paquet de fric lui tombe dessus sans prévenir !

Bref, avec ce titre, Alice Quinn est restée (au moins plusieurs semaines) classée dans le top 10 d’Amazon. Un best-seller, quoi ! Elle comptabilise à ce jour, 246 commentaires (4 étoiles sur 5).

Et sans le vouloir, elle a ouvert la voie aux romans auto-édités humoristiques qui cartonnent !

Alice Quinn est une personne adorable et toujours là pour aider ceux qui lui posent des questions. Elle fait partie de mes mentors 🙂

Depuis sa Rosie, elle a été traduite en anglais pour les Etats-Unis, et son tome 2 vient tout juste de paraître en français. Je lui souhaite de suivre la même voie de succès (un petit clic sur l’image de couv vous amènera directement dans la Caverne d’Ali Babazon) :

Rencontre avec Alice QuinnRencontre avec Alice Quinn

Vous pouvez aller guigner sur son blog, c’est par ici : Blog d’Alice Quinn.

 

Bon, sinon à part cette magnifique rencontre, je continue d’avancer sur mon thriller (dont je parle dans cet article). J’ai fini la préparation de la structure de l’histoire et je rédige en ce moment les fiches personnages. Je trépigne de pouvoir me lancer dans l’écriture, mais encore un peu de patience !

10 réflexions au sujet de « Rencontre avec Alice Quinn »

  1. Chouette rencontre !
    Je n’ai pas encore lu les romans d’Alice Quinn mais tu as su me donner envie de découvrir cette fameuse Rosie 🙂
    Je suis d’accord avec toi Marjorie, l’humour mérite amplement sa place dans la littérature. Faire rire par l’écrit je trouve que c’est vraiment pas évident.
    Merci pour ce partage et ton humour d’ailleurs ^^
    Smack-smack virtuel, chez moi c’est deux aussi.

    1. Coucou Sandro !
      Si j’ai su te donner envie de découvrir Rosie, alors tant mieux !
      Elle mérite d’être connue 🙂
      Et c’est vrai, malgré peut-être les apparences, faire rire n’est pas évident.
      Pas évident du tout ! Et j’inclus aussi les humoristes, les scénaristes, les dessinateurs, bref tous les créatifs ayant l’humour comme arme.
      Smack smack

  2. Hi Marjorie,
    justement, je viens de finir son roman (le second) je ne connaissais ni l’auteure, ni le style, ni le genre, ni-ni-ni.
    Bref, je me suis bien marré. Ca donne tout simplement envie de continuer et d’avancer, avec le sourire. Enjoy ! Je recommande le roman. Une bouffée d’oxygène.
    Inspirez…Expirez…Inspirez…

    1. Hi Bruno,
      Oui je me suis vraiment marrée aussi !
      Ça fait du bien, le rire, la légèreté, d’autant plus quand l’histoire est bien écrite.
      Les gens adorent ça, vu le succès de Rosie !

  3. Hello Marjorie
    Que te dire à part que je suis jalouse de toi 🙂
    Tu as raison Alice Quinn a ouvert la voie aux romans humoristiques et un phare pour les autoédités. Dans les auteurs sur qui prendre modèle, elle est vraiment au top pour sa gentillesse et sincérité. Avec elle, pas de langue de bois sur l’autoédition et cela se lit sur son blog.
    Bravo d’avoir su provoquer les opportunités !

    1. Coucou Marjorie,
      Un phare, c’est le mot, oui ! Dans cet immense océan des auto-édités, ses conseils nous sont précieux.
      J’espère vraiment que la littérature humoristique trouvera sa place. Elle existe déjà depuis quelques décennies (polars, SF, et un tout petit peu de Fantasy) mais n’a pas encore le mérite qui lui revient. Pourquoi la littérature devrait-elle être forcément sérieuse pour être intéressante ? Je suis convaincue que la comédie peut s’allier à la qualité d’une création (littérature, film, série TV et même dessin satirique). Et donc véhiculer n’importe quelle pensée sérieuse par le biais d’une plume légère. Ceux qui ne comprennent pas ça n’ont pas d’humour, selon moi.

  4. J’aime ton franc parler et la manière dont tu rends compte de certaines rencontres (ex. avec Alice Quinn) étant donné que tu es un peu loin de tout dans ta remarquable région (j’y ai effectué, il y a plus de 20 ans), un reportage mémorable tant les gens de chez toi sont sincères, disponibles et affables. Le tout m’intéresse dans la mesure où tout ça sent l’honnêteté. Notre rôle d’auteur a pour socle la sincérité!
    Cordialement
    Christian Saint Roche

    1. Bonjour cher collègue, et bienvenue par ici 😉
      Oui, je suis un peu loin de tout et en plus sans voiture (même si je peux m’en faire prêter une si nécessaire), c’est le prix à payer pour la tranquillité.
      J’ignorais que les hauts-savoyards étaient ainsi, tant mieux !
      Oui, je suis d’accord avec toi, un auteur se doit d’être lui-même, quitte à bien sûr ne pas plaire à tout le monde, ce qui est en soi impossible de toute façon.
      Bien à toi
      Marjorie

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